Aïeux

 


Pour le premier article de ma première participation, je ne savais pas trop quoi écrire. J'ai bien pensé à notre ancêtre l'Australopithèque, dont les trois espèces Afarensis, Africanus et Anamensis auraient convenu, mais il me manque tout de même entre 50000 et 200000 générations pour arriver jusqu'à lui !




Trêve de plaisanterie.

Nos aïeuls nous on précédé sur cette terre, nous l'ont laissé en héritage. Nous portons tous en nous des parties de celles et ceux qui ont fait de nous ce que nous sommes. Aussi c'est à eux que je pense lorsque je "fait de la généalogie". 


Au moment où j'écris ces lignes, mon plus ancien aïeul LAFFEZ connu est Jean Baptiste (Soza 1024),  qui est mentionné dans l'acte de naissance de son fils Pierre en 1716 à Lille. Son épouse s'appelait Marie Hélène VILAIN et lui a donné 7 enfants. 


Et toute branches confondues, mes plus anciens ancêtres connus  sont François AMPROUX et Mathurine MARTELIERE (sozas 1572 et 1573, 14ème génération à partir de moi), qui se sont unis à Saint Géréon (Loire Atlantique) le 14 octobre 1597. Ils font partie des aïeux de Louis Henri Denis ROUSSEAU.


Retrouver les traces, même infimes, de nos aïeuls, c'est leur redonner un peu de vie, les sortir des oubliettes du temps. Ecrire le résultat de nos recherches, c'est préparer la succession, la transmission de nos trouvailles. 


Nous sommes les Aïeux de nos enfants, petits enfants et de leurs descendants.  C'est pour eux que je fais ce "travail", en espérant qu'ils prendront la suite.

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Zones d'ombre

Quelles que soient les avancées que l'on peut faire, il subsiste toujours des zones d'ombre dans nos recherches. On peut bien un jou...